J.-C. Il ne décrit cependant que les frontons et n'évoque pas la frise, peut-être en raison de sa position qui la rend peu visible. (Entre parenthèses, les homologues romains des divinités grecques). Cependant, elle est encore discutée : ainsi, en 1981, Brunilde Ridgway[Article 26] considère que c'est chacun des deux groupes de dieux qui est organisé en demi-cercle[76]. Ces différents exemples permettent de conclure un certain nombre de choses. Dès lors, le nombre d'hommes à cheval ou sur un char, impossible à déterminer en raison des destructions, devrait être de 192 (soit le nombre d'hoplites tombés lors de la bataille selon Hérodote[90],[111],[113]). La reconquête de l'Égypte par les Britanniques plaçait Elgin et ses employés en situation diplomatiquement favorable. ), à moins que Carrey ait mal représenté la caisse de résonance des lyres[48],[62],[65],[29],[66],[68],[69]. Le roi des dieux le fait enchaîné au Caucase et fait envoyer chaque jour son aigle, qui lui grignote le foie.Un châtiment qui aurait duré éternellement, si Héraclès (Hercule) ne l’avait délivré pendant un de ses 12 travaux. Des comparaisons ont aussi été tentées avec d'autres œuvres voisines : entre les chevaux de la frise et ceux des métopes par exemple[Article 3], ou entre la frise et les frontons[Article 4]. La frise au-dessus du portique en façade de la villa médicéenne de Poggio a Caiano pourrait avoir été inspirée par celle du Parthénon, via Cyriaque d'Ancône. De même, la présence de la quasi-totalité des Olympiens (il manque Hadès) avec Déméter, Iris et Éros pour une « simple » cérémonie en l'honneur d'Athéna est surprenante, tout comme le nombre élevé de phiales pour un sacrifice en l'honneur d'une seule déesse[104]. Ce nettoyage, à l'eau, mais aussi à l'aide d'abrasifs, voire de ciseaux métalliques fut interrompu au bout de quinze mois, lorsque le directeur du musée fut alerté (en l'absence du conservateur responsable des marbres). Iris, Héra et Zeus, frise est (British Museum). Collection de l'Eakins Press Foundation. C’est grâce à son immense cheval en bois que les Grecs gagnent le conflit (raconté dans L’Iliade). La frise a été relativement peu touchée pendant des siècles, car peu visible et peu accessible, jusqu'au siège d'Athènes par les Vénitiens commandés par Francesco Morosini en 1687, quand un cinquième a été détruit, réparti sur les côtés nord et sud. Il semblerait qu'il n'y ait aucun musicien au sud, mais plutôt quatre jeunes hommes portant des objets rectangulaires (des tablettes, des pinax ? La version du 28 septembre 2014 de cet article a été reconnue comme «, « permettre aux Beaux-Arts anglais de faire des progrès », « [permettre] au goût anglais de s'affiner », 159,42 mètres en tout, 28,18 mètres pour les côtés les plus courts (ouest et est) et 58,53 mètres pour les côtés les plus longs (nord et sud) selon. Cette décision eut pour conséquence la nécessité d'extraire de la carrière des plaques de marbre beaucoup plus longues (jusqu'à 4,43 mètres) que pour des métopes et triglyphes[21]. Ils arrivèrent au Pirée en 1846. La frise fit ensuite sentir son influence artistique à Rome surtout à l'époque d'Hadrien, l'empereur philhellène. Une pélikè à Berlin[N 38] copie la figure Ouest 25 (plaque Ouest XIII) : le cavalier plaçant son pied droit contre le sabot avant droit de son cheval pour lui écarter les jambes. Les traces de suie, de dioxyde de carbone et de soufre datant du XIXe siècle sont encore visibles sur les blocs les plus fragiles de la frise qui ont échappé au nettoyage intempestif de 1937-1938. (, Les deux divinités sont associées dans le «, Aphrodite est adorée en Attique sous l'épiclèse « pandemos » (« de tout le peuple ») (, La figure Ouest 25 (plaque Ouest XIII) est significative. Un léger espace, appelé scamillus, a été ménagé dans les blocs à la base (3,6 centimètres de profondeur sur 0,8 centimètre de haut) et au sommet (5,6 centimètres de profondeur sur 1,7 centimètre de haut). La cavalcade est ainsi divisée en rangs, avec un chef de file (le cavalier de tête), celui sculpté devant sur les deux plans : devant les autres cavaliers dans le sens de la marche et devant les autres cavaliers sur la profondeur de la frise sculptée. Tous les personnages précédant les chars, sont à pied. Le règlement religieux athénien prévoyait que des génisses étaient sacrifiées à Athéna, et des brebis à Pandrose. Le résultat est que le vêtement est un peu trop avancé par rapport à la poitrine de l'homme et qu'on aperçoit encore l'œil du cheval[37]. Toutes les autres sont plus ou moins vêtues, ne serait-ce que d'une simple chlamyde. La plaque fut envoyée à Londres telle quelle par Elgin. De plus, la seconde (depuis le centre) porte un repose-pieds, rappelant celui sur les représentations courantes de Zeus. Parmi les figures masculines (Est 44 et 45) se trouveraient aussi deux Athéniens mythiques essentiels, Égée et Thésée. Ils sont groupés par paire : Zeus et Héra ; Athéna et Héphaïstos qu'elle a élevé[N 15] ; les jumeaux Apollon et Artémis ; Éros et sa mère Aphrodite. À côté de frontons, représentant un épisode mythologique, en ronde-bosse, de métopes en haut-relief, une frise ionique en très bas-relief proposant une narration s'étalant dans le temps et l'espace, offrait aussi une variété dans le décor. Le cheval à la crinière non taillée et le cheval cabré sur la frise ouest auraient alors été rejetés. Apollon est le dieu de la « théorie », le dieu qui voit clair et loin, dieu solaire qui enseigne la prédiction (c'est dans son temple de Delphes qu'officiait la Pythie) aussi bien que la guérison (il est père d'Esculape), dieu d'équité (Thémis l'a nourri) et d'harmonie, qui se tient au-dessus de toutes les mêlées (le combat des dieux, dans L'Iliade au chant XXI). Il est ainsi difficile de savoir où elle se déroule et ce qu'elle représente. La chaleur intense fissura de nombreux éléments de marbre et une restauration extensive fut réalisée. Un cinquième a été détruit en 1687, mais la moitié de ce qui a disparu est connu par des gravures. Elles pèsent autour de 2 tonnes. Les employés d'Elgin avaient pour mission première de peindre et mouler les antiquités d'Athènes, et en second lieu d'en acheter. La première description littéraire du décor sculpté du Parthénon a été écrite par Pausanias au IIe siècle apr. Panneau allégorique avec Tellus Mater, Ara Pacis, évoquant l'Aphrodite de la frise est. La majeure partie de la frise représente une cavalcade. Si l'interprétation la plus courante est l'Acropole, certains auteurs[Article 22] ont suggéré que ce puisse être l'Olympe voire l'Agora[78]. Malgré tout, il semble peu probable que les Athéniens aient imité l'art de leur principal ennemi ; de plus, les alliés ne sont pas représentés sur la frise (contrairement à celle d'Apadana)[112]. Quant au British Museum, il répond que les éléments de la frise font partie du patrimoine mondial et qu'elles sont plus accessibles au public à Londres qu'à Athènes [167], [168], [166]. Les autres personnages sont six du côté nord et cinq du côté sud. Parmi les chevaux, l'un, manifestement jeune, a la crinière non taillée ; un autre se cabre et deux hommes ne peuvent le contrôler[56],[57]. Les traces laissées par le compas sont encore visibles pour les roues des chars. Ces deux plaques correspondent en fait pratiquement aux deux blocs d'architrave sur lesquels elles reposent (4,185 mètres entre les colonnes). Les deux se trouvent aujourd'hui au Louvre[136],[137]. Les nombreuses caisses d'antiquités collectées par les agents d'Elgin voyagèrent de la Grèce vers Londres sur plusieurs navires. Au total, elle représente 378 personnes et 245 animaux (227 chevaux ainsi que 14 bovins et 4 ovins pour le sacrifice)[46],[19]. Le torse fut retrouvé sur l'Acropole lors des fouilles de 1888-1889 et son moulage fut ajouté à la plaque conservée au British Museum. En Allemagne, des peintres comme Karl Friedrich Schinkel avec L'Âge d'or de la Grèce (1825) ou August Wilhelm Julius Ahlborn (qui copia cette œuvre en 1836) utilisèrent la frise. L'interprétation la plus couramment acceptée est que les dieux sont installés comme sur les gradins d'un théâtre, en demi-cercle, dominant les deux actions qui se déroulent à leurs pieds[75],[76],[77]. Aux yeux des Grecs de l’Antiquité, Delphes, un lieu riche d’un grand patrimoine immatériel, était le centre du monde (omphalos) : selon la mythologie, c’est à Delphes que s’étaient rencontrés deux aigles lâchés par Zeus, l’un vers l’est, l’autre vers l’ouest. La fresque de la bataille de Marathon dans la Stoa Poikilè réalisée par Panénos, frère ou cousin de Phidias - Strabon est le seul à mentionner qu'il est son neveu[42] - est ainsi évoquée comme une des sources d'inspiration de la frise du Parthénon. Cependant, une interprétation alternative est proposée. Elgin, en juillet 1801, demanda et obtint de la Porte un firman donnant un accès définitif. Il est le seul à n'être pas « tourné » vers la procession, mais vers la scène centrale. Les personnages masculins au centre de la frise est, entre la procession qui arrive et les dieux, sont le plus souvent identifiés aux dix héros éponymes ou à des magistrats. Alcamène, son élève, est aussi évoqué, par exemple pour les dieux de la plaque Est VI. Londres. Ces sculptures ont été réalisées par plusieurs artistes, placés sous la direction d'un seul, pour assurer la cohérence de l'ensemble. Par ailleurs, de l'avis du sculpteur contemporain et historien d'art Peter Rockwell, il est plus facile de déplacer un sculpteur qu'une masse de plus de deux tonnes, aux détails très fins et fragiles[N 4]. Les trois figures féminines seraient alors deux des trois filles de Cécrops (Aglaure, Hersé ou Pandrose) accompagnant Gaïa (mère d'Érichthonios). En outre, cela libérait la place au sol car les 92 métopes et les figures monumentales des deux frontons y étaient aussi fabriquées[35]. Les autres figures masculines sont plus proches des dieux. La plaque Ouest II représente deux jeunes hommes à cheval dont le premier se retourne et fait un geste avec la main au-dessus de la tête. Il n'en subsiste que quelques fragments. Il semblerait qu'ils sont en fait, comme il est de tradition, en groupe, mais installés en demi-cercle comme sur les gradins d'un amphithéâtre, dominant les deux actions qui se déroulent à leurs pieds[75],[77],[76]. Il lui fut proposé 35 000 livres : il accepta et resta donc endetté. Jason est le prince d’Iolcos.Mais son oncle Pélias le prive du trône.Il consent à le lui rendre en échange de la Toison d’or, la fourrure en or d’un bélier ailé. John Boardman[Article 18] pense que la figure masculine reçoit le péplos et qu'il n'est nullement question de pliage ou dépliage[110]. Les premières, vierges à marier, révèlent donc davantage leur corps tandis que celles qui sont déjà épouses sont plus couvertes. Cratère attribué à Pollion (vers 420 av. Les dieux sont assez facilement identifiables. Une tragédie perdue d'Euripide, Érechthée, dont on a publié en 1967 cent cinquante lignes retrouvées dans un cartonnage de momie, avait ce mythe pour sujet. Les chevaux et leurs attitudes sont tous différenciés. Les petits côtés évoquent les métopes du combat des centaures et Lapithes. Ses éléments sont copiés ailleurs sur la frise mais de façon moins adroite : le cheval en Nord 98, le chitoniskos (chiton court) en Ouest 8 et Nord 64, la cape en Sud 79. À Thèbes, le roi Laïos et la reine Jocaste ont un fils, Œdipe.Et ce, malgré l’annonce de l’oracle de Delphes : « il tuera son père et épousera sa mère ».Ils l’abandonnent dans la forêt mais le bébé est adopté par le roi de Corinthe. Leur position, intermédiaire entre le divin et l'humain, renforce l'idée qu'ils seraient les héros éponymes. La parade d'hoplites, importante dans la procession des Panathénées, est absente de la représentation sur le Parthénon alors que les chevaux et chars occupent les deux-tiers de la frise[14],[104],[100]. La frise est en marbre du Pentélique. La source ne précise pas de quel côté elle provient. Merci de me l’avoir indiquée et je suis ravie de vous avoir aidée <3, J ai vraiment trouvé ces histoires intéressantes.Merci de les avoir mis à notre disposition, Avec plaisir <3 Merci pour votre commentaire et votre temps de lecture , Merci pour ce travail court mais efficace Je m’en sers pour réviser le concours ACCES qui comporte une partie mythologie ce qui n’est absolument pas mon domaine !!! Il n'existe pas de description de la frise, contemporaine de sa réalisation, qui pourrait aussi en donner une interprétation définitive. Hermès, Dionysos, Déméter et Arès, frise est (British Museum). À partir de 556 av. Voici quelques-unes de ses aventures malheureuses : Finalement, Ulysse retourne à Ithaque, où Pénélope est harcelée par de multiples prétendants au trône.Pour faire court, il les tue tous et tout est bien qui finit bien ! Donc, seuls 10 % de la frise restent inconnus[13],[126],[172]. La frise du Parthénon ou « frise des Panathénées » est une frise ionique (sur un bâtiment dorique) en marbre du Pentélique de 160 mètres de long représentant 378 figures humaines et 245 animaux. Il n'y a qu'une seule plaque avec des chars : sur l'un des fragments, le char roule, conduit par l’apobátês ; sur un autre fragment, le char est arrêté et l’apobátês est descendu : aucun n'est représenté en mouvement. Cependant, les liens avec la Grèce et Athènes n'avaient pas tout à fait disparu. Le tissu serait un suaire. Comme la procession partait du Dipylon (avec deux portes donc), on pouvait l'imaginer avec deux cortèges au départ, se rejoignant ensuite : d'où une frise nord et une frise sud. Elles ont pu aussi être sculptées au sol avant d'être mises en place[38]. Cela lui permet d'identifier Hébé. Les deux personnages adultes de cette scène centrale se tournent le dos : certains auteurs[Article 10] ont donc suggéré que deux cérémonies différentes pouvaient se dérouler[84]. Les plaques est VII et VIII, considérées comme courtes, sont en fait deux fragments d'une seule plaque de 3,59 mètres brisée en deux. J.-C. arbore une courte frise ionique représentant les Travaux d'Héraclès. La réforme de Périclès concernant la citoyenneté donnait un rôle politique important aux épouses et mères de citoyens : ces dix femmes plus âgées pourraient le symboliser sur la frise. Par la suite, l'artiste coordonnateur a pu tracer sur la surface un dessin préparatoire, laissant ses assistants réaliser le bas-relief[35],[36]. La question se pose en effet aussi quant à l'endroit où se trouvent les dieux. À l'est, la procession est accueillie par les dieux[15],[14],[17],[45]. Cependant, Xénophon (dans Le Banquet, IV, 17) évoque des hommes portant des branches d'olivier et il précise que ces thallophores sont choisis parmi les « beaux vieillards ». Pendant ce temps, Lusieri continuait à prélever des antiquités sur l'Acropole : à nouveau des plaques de la frise, et une caryatide de l'Érechthéion. Les personnages à pied pourraient être au nombre de dix-huit au sud contre seize au nord. La composition est symétrique, avec les divinités encadrant la scène centrale, tournées vers la procession qui arrive de chaque côté[74]. Elle a saisi le pied (subsistant) du tabouret le plus proche d'elle. Devant les cavaliers, se trouvait un groupe de dix ou douze quadriges, chacun portant un aurige en chiton et un apobátês. Ian Jenkins l'a améliorée en 1994 (The Parthenon Frieze) grâce aux nouvelles découvertes : cinq plaques de plus au nord et trois de plus au sud. Depuis Cyriaque d'Ancône, qui expliquait déjà que les sculptures du Parthénon évoquaient les « victoires des Athéniens du temps de Périclès », nombre d'historiens ont considéré que ce thème était présent dans la frise. Il est encore plus difficile de nommer avec certitude l'artiste qui aurait sculpté une section particulière de la frise. De plus, des hydraphoroi masculins sont parfois représentés sur des vases attiques. Les résultats ont varié de trois à quatre-vingts[33]. Les archéologues et spécialistes de l'art antique ont numéroté les plaques de marbre de la frise, avec des chiffres romains, et les personnages, avec des chiffres arabes. Les himations des femmes ont des drapés similaires. Le tissu est-il en train d'être plié ou déplié ? Ce que les figures Est 31 et 32 portent sur le tabouret serait alors aussi leur suaire. Ainsi, le stamnos « des Dioscures », de Polygnote[N 37] évoque les cavaliers à pétase de la frise sud. Ils seraient dix autres magistrats, dont le nombre correspondrait à celui des tribus. Elle représentait Poséidon (avec son trident), Apollon (avec une branche et une couronne de laurier), Artémis (avec son arc ? Dès lors, une Athéna non armée, selon certaines interprétations, serait « Athéna erganè », patronne des travaux féminins, ce qui serait adapté à un contexte de remise d'un tissu brodé[77]. Cette interprétation fait aussi de Praxithée la première prêtresse d'Athéna. J.-C. L'interprétation la plus répandue est qu'elle représente la procession du péplos lors des grandes Panathénées. Par ailleurs, la parade d'hoplites ainsi que les alliés ne sont pas représentés, alors que les chevaux et chars occupent les deux tiers de la frise[104],[14],[100],[89]. Ils pourraient être les stratèges, les neuf archontes et leur secrétaire, les athlothètes qui supervisent les concours des Panathénées, les boônai chargés de procurer les animaux pour le sacrifice, etc. La disposition des chevaux est sans imagination (dix groupes de six) contrairement au nord où elle est plus variée. ), Aphrodite (avec un parasol ?) Le sexe de l'enfant (Est 35) tenant le tissu est sujet à controverse. À Burlington House, ensuite, les artistes continuèrent malgré les mauvaises conditions à venir dessiner les marbres. La frise est restée très peu connue en Occident jusqu'à son arrivée au British Museum au début du XIXe siècle. Il n'y a que deux exceptions : le cavalier Nord 120 est vu de trois-quarts dos et la jambe du cavalier Sud 9 est pliée. Pandore est la première femme humaine.Elle est créée de l’argile par Héphaïstos (Vulcain), le dieu de la forge.Athéna (Minerve) lui insuffle la vie, sur demande de Zeus (Jupiter) qui veut se venger du vol du feu donné aux hommes …. Le « nouveau » musée de l'Acropole d'Athènes, achevé en juin 2009, a été construit et aménagé dans le but d'abriter l'intégralité des marbres du Parthénon, à leur retour en Grèce[166]. Les morceaux de marbre dispersés autour des ruines furent réduits en chaux ou réutilisés comme matériau de construction. D'autres suggèrent que l'ensemble de la frise se déroule simultanément[75],[105]. Deux thèmes principaux surtout lui ont été empruntés : l’apobátês (soldat en armes, montant et descendant d'un char) et le bovin mené au sacrifice. Lors de sa création, chaque dieu et déesse lui offre une qualité.De beaux vêtements de la part d’Athéna (alors qu’elle aurait pu lui donner la sagesse …).La beauté de celle d’Aphrodite (Vénus) la grâce et la beauté …Et surtout la curiosité de la part d’Hermès (Mercure), sur ordre de Zeus. Sur les côtés nord et sud, la longueur moyenne est de 1,22 mètre, soit celle des blocs de marbre des murs, avec des plaques un peu plus longues au-dessus des porches (1,38 mètre à 1,705 mètre). Antonio Canova fut contacté en vue d'une restauration des statues de marbre, comme c'était alors la mode. La façon dont les chlamydes des cavaliers ou les crinières des chevaux prennent le vent se retrouve dans de nombreux vases de la fin du Ve siècle av. À cette date, quarante caisses attendaient d'être embarquées au Pirée[N 30]. On lui doit une des meilleures reproductions de la plaque Nord XXXVII[181]. Le magistrat Ouest 1 rappelle aussi son travail sur la statue de culte dans l'Héphaïstéion[30]. Cette dernière aurait, via divers vases attiques, inspiré à John Keats le vers « that heifer lowing at the sky » dans Ode on a Grecian Urn[70],[185]. Il y a aussi soixante cavaliers, organisés en dix groupes de six, de façon bien plus évidente que sur la frise nord. Les plaques de la moitié sud de ce côté ouest représentent six chevaux sans cavalier et des hommes à pied, le tout sous la supervision d'un homme qui tient une tablette à la main. La frise siphnienne contient des éléments qui sont repris sur la frise du Parthénon : une seule figure en coin, tournée vers la frise qui se déroule ; les chars et apobátai (pluriel d’apobátês, soldats en armes montant et descendant du char, même si sur la frise les apobátai n'ont ni armes ni bouclier) ; les dieux assis représentés plus grands que les mortels. Le sarcophage lycien de Sidon, dit « lycien », en raison de sa forme caractéristique mais provenant de la nécropole royale de Sidon[N 43], fait partie des œuvres évoquées dans ce cadre. Depuis, le gouvernement grec exige régulièrement la restitution de la frise du Parthénon, et avance deux arguments : le premier fait valoir que tout État doit pouvoir être propriétaire d'un élément essentiel de son patrimoine culturel ou historique ; le second, que la frise a été achetée au gouvernement ottoman, qui ne représentait pas le peuple grec[165],[166]. Seules deux figures humaines (et masculines) sont nues, ainsi qu'Éros. Les parties suivantes de la frise nord ont été les plus endommagées par l'explosion de 1687. Il est le point de convergence : autour de lui, tout est symétrique : les dieux, les hommes âgés, les femmes, les animaux du sacrifice, les porteurs, les chars, les cavaliers[84]. La Royal Academy possédait ainsi depuis 1744 un grand fragment de la frise[134]. Le 15 juin 2014, au Ulriksdals Slottsteater de Solna, en Suède, dans le cadre du festival O/modernt, a été donnée une cantate de 40 minutes en huit mouvements, intitulée Panathenaia. Cette dernière montre à son fils Éros la procession qui s'approche[N 14]. Dès les premières années qui suivirent son indépendance, la Grèce essaya de faire revenir sur son sol les marbres du Parthénon, dont ceux de la frise[163]. Elle est aussi connue par des gravures. Zeus est assis à la place d'honneur de ce côté, non pas sur un banc, comme les autres divinités, mais sur un trône (avec dossier et accoudoirs soutenus par un sphinx). J.-C., le trésor de la ligue fut transféré de Délos à Athènes. Il évoque toutes les sculptures du Parthénon, les appelant « preclaris imaginibus » (« très nobles images ») et considère qu'elles représentent les « victoires des Athéniens du temps de Périclès ». Cependant, par contraste avec les autres personnages féminins dans le reste du décor du Parthénon (Amazones ou déesses), elles apparaissent soumises aux personnages masculins, les magistrats qui encadrent la procession. Il avait réussi, en corrompant les autorités locales, à récupérer un morceau de la frise est ainsi qu'une métope en creusant autour du bâtiment. J.-C., la réponse devait être évidente : les marathonomaques, les Athéniens tombés à Marathon et enterrés sur place, sous un tumulus, où des signes de culte héroïque ont été retrouvés.
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